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Publié par Alain Lequien dit Bourguignon La Passion

vue matinale des Pyrénées.
vue matinale des Pyrénées.

Aujourd’hui, c’est la fête nationale en France et nous devons entrer en Espagne par le col du Somport. Mais, il nous reste à parcourir les douze derniers kilomètres en France et atteindre le col à 1640 mètres d’altitude. Soit 800 mètres de dénivelé. Dire que ce fut facile serait une gageure, mais en fait cela monta relativement doucement avec parfois quelques petites montées raides.

Au « Summus portus », nom latin du Somport, l'hospice de Sainte-Christine fut longtemps considéré comme l'un des trois hôpitaux majeurs de la chrétienté, les deux autres étant ceux de Jérusalem et du Mont-Joux situé au col du Grand-Saint-Bernard. De nos jours, il n’en reste que quelques pierres de fondation.

Un chemin étonnant, des paysages de grande beauté... et des taons.Un chemin étonnant, des paysages de grande beauté... et des taons.Un chemin étonnant, des paysages de grande beauté... et des taons.

Un chemin étonnant, des paysages de grande beauté... et des taons.

L'ancienne frontière.
L'ancienne frontière.

Il est presque midi lorsque nous franchissons la frontière. Votre serviteur en tête, suivi de Colette et quelques minutes plus tard de Kio et de son père Thierry. Il faudrait immortaliser ce moment pour nous mais nous ne trouvons personne pour le faire. Il n’y a que des Espagnols présents qui se désintéressent complétement de nous. La musique d’une voiture sur le parking joue à tue-tête une ancienne chanson. On est bien en Espagne.

Quelques images du Somport : vierge, pélerin stylisé.Quelques images du Somport : vierge, pélerin stylisé.Quelques images du Somport : vierge, pélerin stylisé.

Quelques images du Somport : vierge, pélerin stylisé.

Descente vers Canfranc-Estacion
Descente vers Canfranc-Estacion

Après un premier sandwich espagnol de l’année au café du col, nous prenons la route par les chemins qui doivent nous mener à Canfranc-Estacion. Nous suivons désormais un nouveau rio, l’Aragon qui a donné son nom à cette région. L’immense gare que l’on peut voir est le vestige de la relation transpyrénéenne entre la France et l’Espagne. A la suite d’un grave accident en 1970, la ligne fut abandonnée et la gare laissée à l’abandon.

Après de nombreuses recherches dans la cité, nous prenons gite à l’albergue Pepito Grillo. L’accueil, sans être chaleureux, fut bon.

A suivre. Alain dit Bourguignon la Passion.

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